Le mariage de l’année
Vendredi, donc, la Middleton et son prince de fiancé arriveront en voiture (pas très écolo, mais moins snob que la calèche) et se diront oui devant quelques centaines d’invités (ils en connaissent, du monde) et les caméras du monde entier venues vérifier si toute cette petite fiesta aura bien lieu. Oui, parce qu’on n’est jamais à l’abri d’un « non », même si, par les temps qui courent, quand on trouve un prince on se le garde.
Personnellement, ça me ferait bien marrer qu’elle dise non, la Kate. Un sursaut de rébellion anarchiste, un roturier qui aurait succombé à son absence de rondeurs… Parce qu’il faut dire qu’elle a sacrément maigri, la bougresse. Ou alors… le prince William qui se rétracte : du style « je voulais épouser un petit pain rond et je me retrouve avec une ficelle, y a tromperie sur le produit ». Bref… tous les regards seront tournés vers la Grande-Bretagne, peut-être dans l’espoir que Miss Middleton rapporte un peu de fraîcheur à la cour d’Angleterre (moi, je continue à penser qu’un « non », d’un côté comme de l’autre, serait du plus bel effet).